Alors que l’ancien président Mohamed Ould Abdel Aziz a été hospitalisé pour des analyses médicales approfondies au Centre national de cardiologie (CNC) à Nouakchott, la tension est vive aux abords de l’établissement. Plusieurs de ses partisans s’y sont regroupés dès l’annonce de son transfert, visiblement inquiets pour sa santé.

Parmi eux, Foyl Ould Lahah, figure proche de l’ex-chef de l’État, a tenu des propos d’une extrême gravité. “L’ancien président est l’objet d’une tentative d’élimination physique”, a-t-il affirmé. “Depuis plusieurs années, ils cherchent à le faire disparaître. Cette opération de destruction est en cours depuis longtemps. Ils veulent le tuer.”

Selon lui, Mohamed Ould Abdel Aziz souffre de plusieurs pathologies : hypertension artérielle, diabète, et séquelles liées à l’opération qu’il avait subie après avoir été blessé par balle à Touila en 2012. Il ajoute qu’il serait privé de conditions de détention adéquates : absence d’exposition au soleil, impossibilité de pratiquer une activité physique, restrictions des visites, et accès limité aux soins.

Foyl Ould Lahah affirme aussi que les avocats et les proches de l’ancien président réclament depuis plusieurs années son évacuation médicale à l’étranger pour un meilleur suivi, sans obtenir gain de cause. “Leur refus systématique est une forme de condamnation déguisée. C’est une lente élimination physique”, a-t-il insisté.

“Ce n’est pas seulement une injustice judiciaire, c’est un acharnement physique et moral”, a-t-il poursuivi, exhortant les autorités à mettre fin à ce qu’il considère comme une “épreuve inhumaine”.

Condamné à 15 ans de prison ferme pour corruption, blanchiment d’argent et enrichissement illicite, Mohamed Ould Abdel Aziz est incarcéré depuis 2021. Ses avocats alertent depuis longtemps sur la dégradation de son état de santé. Sa récente admission au CNC, bien que non confirmée comme une intervention chirurgicale, ravive les inquiétudes de ses soutiens.

Ces derniers exigent désormais des garanties claires sur sa prise en charge médicale et dénoncent un traitement qu’ils jugent incompatible avec les droits fondamentaux. L’atmosphère reste tendue devant le Centre national de cardiologie, où ses partisans aAlors que l’ancien président Mohamed Ould Abdel Aziz a été hospitalisé pour des analyses médicales approfondies au Centre national de cardiologie (CNC) à Nouakchott, la tension est vive aux abords de l’établissement. Plusieurs de ses partisans s’y sont regroupés dès l’annonce de son transfert, visiblement inquiets pour sa santé.

Parmi eux, Foyl Ould Lahah, figure proche de l’ex-chef de l’État, a tenu des propos d’une extrême gravité. “L’ancien président est l’objet d’une tentative d’élimination physique”, a-t-il affirmé. “Depuis plusieurs années, ils cherchent à le faire disparaître. Cette opération de destruction est en cours depuis longtemps. Ils veulent le tuer.”

Selon lui, Mohamed Ould Abdel Aziz souffre de plusieurs pathologies : hypertension artérielle, diabète, et séquelles liées à l’opération qu’il avait subie après avoir été blessé par balle à Touila en 2012. Il ajoute qu’il serait privé de conditions de détention adéquates : absence d’exposition au soleil, impossibilité de pratiquer une activité physique, restrictions des visites, et accès limité aux soins.

Foyl Ould Lahah affirme aussi que les avocats et les proches de l’ancien président réclament depuis plusieurs années son évacuation médicale à l’étranger pour un meilleur suivi, sans obtenir gain de cause. “Leur refus systématique est une forme de condamnation déguisée. C’est une lente élimination physique”, a-t-il insisté.

“Ce n’est pas seulement une injustice judiciaire, c’est un acharnement physique et moral”, a-t-il poursuivi, exhortant les autorités à mettre fin à ce qu’il considère comme une “épreuve inhumaine”.

Condamné à 15 ans de prison ferme pour corruption, blanchiment d’argent et enrichissement illicite, Mohamed Ould Abdel Aziz est incarcéré depuis 2021. Ses avocats alertent depuis longtemps sur la dégradation de son état de santé. Sa récente admission au CNC, bien que non confirmée comme une intervention chirurgicale, ravive les inquiétudes de ses soutiens.

Ces derniers exigent désormais des garanties claires sur sa prise en charge médicale et dénoncent un traitement qu’ils jugent incompatible avec les droits fondamentaux. L’atmosphère reste tendue devant le Centre national de cardiologie, où ses partisans attendent avec fébrilité des nouvelles de l’ancien président.

Source : Rédaction Shemsmaarif.infottendent avec fébrilité des nouvelles de l’ancien président.

Source : Rédaction Shemsmaarif.info

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *