L’affaire fait suite à des propos jugés offensants que le prédicateur aurait tenus à l’encontre de la militante, de son époux, de leur famille ainsi que du mouvement IRA. Face à la polémique, le “Fqih Maliki” avait tenté d’apaiser la situation en présentant des excuses publiques à Mme Mint Sleiman, à son mari, à sa famille et au mouvement, plaidant pour le retrait de la plainte.
Sa démarche n’a visiblement pas suffi à convaincre la partie plaignante.
Depuis l’annonce de l’incarcération, l’affaire continue de faire réagir au sein de l’opinion publique, alimentant le débat sur la responsabilité des prédicateurs et la liberté d’expression face aux principes de respect et de dignité.




