Alors que la consommation de substances psychoactives continue de faire des ravages parmi les jeunes, des voix s’élèvent pour dénoncer l’origine du fléau : le trafic de pilules hallucinogènes, souvent ignoré, voire passé sous silence.
Certains lanceurs d’alerte appellent aujourd’hui à retenir les noms des trafiquants responsables de cette catastrophe silencieuse, en rappelant qu’ils devront rendre compte de leurs actes, ici-bas comme dans l’au-delà.
« Souvenez-vous bien de ceux qui vendent ces pilules empoisonnées. Un jour, vous les tiendrez responsables devant Dieu pour les vies de vos enfants », peut-on lire dans un message largement partagé sur les réseaux sociaux.
Ces substances, qualifiées de « poison maudit », sont accusées d’avoir ravagé l’esprit de toute une génération, détruisant les repères, fragilisant les familles et affaiblissant le tissu social.
« Ils ont brisé l’échine de la société avec leurs cargaisons de drogue. »
Ce cri d’alarme pointe également un manque de dénonciation publique :
« Personne ne s’indigne, parce que certains refusent d’admettre la cause réelle : les pilules hallucinogènes. »
Derrière ce silence, certains y voient un déni collectif, voire une forme de complicité passive. Pendant ce temps, les effets sur la jeunesse sont dévastateurs : violence, dépendance, troubles mentaux, déscolarisation… et parfois la mort.
La société est ainsi appelée à prendre ses responsabilités, non seulement en réclamant justice contre les trafiquants, mais aussi en brisant le silence autour de ce sujet encore tabou




